1 – Profiter des aides proposées par Pôle Emploi
Pour obtenir l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE), il est nécessaire de s’inscrire à Pôle emploi dans les 12 mois qui suivent la fin du contrat. Ce montant est calculé selon les anciens salaires, primes comprises. La durée varie en fonction des périodes de travail et de l’âge.
Aide à la reprise et à la création d’entreprise (ACCRE)
Cette aide permet bénéficier d’une exonération de charges sociales pendant un an.
s’adresse aux demandeurs d’emploi indemnisés et bénéficiaires du dispositif d’exonération de charges sociales Accre, qui peuvent percevoir une partie de leurs allocations sous la forme d’un capital.
– Montant : 45 % du reliquat des droits à l’assurance chômage
– Modalités : versement en 2 fois (une moitié après l’obtention de l’Accre, l’autre 6 mois après la date de création/reprise de l’entreprise)
2 – Connaître les aides publiques
La BPI propose des aides financières aux entreprises durant les premiers besoins d’investissement . Le site est bien conçu pour accompagner les créateurs d’entreprise souhaitant convaincre les banques. L’offre de prêts de la BPI aux SAS est détaillée sous forme d’infographie.
Nacre : Nouvel Accompagnement pour la Création et la Reprise d’Entreprise
Prêt à taux zéro et sans garantie, le nouvel accompagnement pour la création et la reprise d’Entreprise peut être sollicité via la direction régionale des entreprises, de la concurrence de la consommation, du travail et de l’emploi :
– Montant : 1 000 € à 10 000 €
– Durée : 1 à 5 ans
– Conditions à remplir par l’emprunteur :
– être demandeur d’emploi ou bénéficiaire des minima sociaux (ASS, RSA) ou jeune créateur
– exercer le contrôle effectif de l’entreprise créée ou reprise
– mettre obligatoirement en place un prêt bancaire (ou assimilé) complémentaire, d’un montant et d’une durée supérieurs au prêt à taux zéro
Les fonds régionaux de garantie
Les régions proposent également des aides au financement sous forme de micro-crédits, de garanties de prêts bancaires et de conseils en exonérations fiscales sur le site : http://www.aides-entreprises.fr.
3 – Profiter des démarches administratives simplifiées
Le Choix du statut juridique de la SAS :il permet via les statuts de donner une autonomie forte au créateur de société par action simplifiée.
Faire des économies et gagner du temps durant la phase des formalités juridiques : Le Légaliste.fr propose des modèles d’annonce légales de SAS gratuits.
4 – Profiter des Opportunités de croissance grâce au E-commerce
Explosion de l’e-commerce (de 57 milliards d’euros en 2014, il passera à 90 milliards en 2020).
Développement du phénomène do-it Yourself : Il est désormais possible de trouver des idées de création d’entreprise dans l’économie participative, notamment en permettant aux B2B de réduire les intermédiaires.
5 – Les guides
- Toutes les étapes de création de la SAS et des autres statuts de l’entreprise : naissance, de l’idée, élaboration du projet, études commerciales financières et juridiques en 4 phases pour bien lancer sa société.
Le guide du routard de la création et reprise d’entreprise
Plus de 2500 contacts utiles pour créer votre entreprise dans votre région.
Le guide de la création de SAS à Paris
Astuces, conseils et solutions pour faire des économies et créer rapidement une SAS à Paris.
6 – L’émission à suivre
L’émission de france Inter « L’aventure de la création d’entreprise » donne de nombreuses clefs pour bénéficier des conseils des associations et réseaux d’aides aux entrepreneurs comme le Moovjee pour les jeunes.